A l’occasion de la saison de la cueillette des champignons, même si cette année le manque d’eau se fait sentir, focus sur ceux (les champignons!) qui habitent le Vercors, 30 ans après l’accident nucléaire de Tchernobyl.
Présentation à cet effet par le laboratoire indépendant Criirad d’une récente étude , faisant suite à celle réalisée en 1987, au lendemain de la catastrophe.
Indicateur privilégié quant à l’évolution du césium 137 dans le temps, le champignon représente pour Julien Syren, ingénieur et chargé d’études au laboratoire, un marqueur sensible et qui selon l’espèce peut varier dans de larges proportions.
Interview Julien Syren avec la participation de Dominique Barbier, adhérente
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Le secteur du Vercors où la contamination est la plus élevée (30000-35000 Bq/m²). La grotte du Brudour se situerait plutôt dans le secteur 25000-30000 Bq/m².
