“Je vérifie l’enveloppe, c’est bien mon nom. Comment croire à une erreur de destinataire ? Quand on s’appelle Pierre Dupont, je suppose qu’on peut recevoir du courrier par mégarde. Mais moi ?
Moi, je m’appelle Athénaïs Martel de l’Orme.
Il n’y a pas de mégarde possible.”

Pour Athénaïs, avocate comblée et persuadée d’avoir enfin remis de l’ordre dans sa vie, ce courrier qu’un notaire doit lui remettre en mains propres s’apparente à une formalité. Pourtant, dans ce petit bureau feutré loin de chez elle, trois minutes…

 

Entretien avec Cécile Candiago, auteure de ce premier ouvrage aux éditions Les Michelières .

 

 

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